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05 septembre 2006

Fait beau, fait chaud

Fait beau, fait chaud, c’est l’été de septembre. On peut encore rêver un peu, se promettre de bons moments, des promenades, des rigolades avec la famille, les enfants et les amis. Ouf ! Pour combien de temps ? Question inutile, il faut garder le soleil dans sa tête. Une pensée à celles et ceux en difficulté en ce moment et à qui je souhaite que ce soleil les atteigne au cœur et attise leurs espoirs.

En tout cas, je ne me pencherai pas aujourd’hui sur la rentrée littéraire. Je risque de perdre cette belle gaieté, car déjà, sur six cent et quelques romans sortis, on n’entend que deux ou trois noms récurrents, comme si les experts médiatiques avaient obligeamment opéré une pré-selection pour nous faciliter les choix, sous-entendu notre entendement leur paraissant insuffisant sans doute… J’y reviendrai.

 

 Hier, il faisait déjà beau l’après midi, par ici. J’étais enfermé toute la journée pour une réunion où ma qualité d’électron libre m’a encore mis à dos quelques personnes qui me rediront malgré tout bonjour demain ! Elles me connaissent bien… Par contre, pour me détendre, le soir, j’ai joué au farfouilleur netique et j’ai tenté d’explorer le mot arc-en-ciel dont on sait que je suis un inconditionnel. Je vais peut-être changer de fusil d’épaule, car j’ai trouvé ça, ça et ça. Qu’en pensez vous ? (Je prépare une note là dessus, car toutes ces histoires là me mangent les neurones et les nerfs depuis bien longtemps, alors je vais sauter le pas )

 

Fait beau, fait chaud et je suis en retard dans les notes promises et dans les réponses à vos commentaires, mais je vais quand même en profiter aujourd’hui, ne sachant pas de quoi sera fait demain.