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07 mars 2008

Bientôt le Printemps ?

La vidéo d'Hugues Auffray a été retirée, désolé....

 

Ah jeunesse, où es-tu ? Ci-dessus, un scopitone d’Hugues Aufray, l’image et le son ne sont pas de la qualité d’aujourd’hui, mais c’était nos mp3 ou autre trucmuche à nous. Ce qui prouve bien à chaque génération qui naît que le monde n’est pas né avec elle mais bien avant elle ! Mais ce qui n’empêche pas qu’elle a raison de profiter des progrès qu’on lui a préparé, bien sûr. Les choses étant remises en place, venons-en au Printemps. Il tarde à venir, autour de ma grotte, mais on le pressent, ne serait-ce que par le chant matinal des oiseaux…  oui parce que la flore n’est pas bien pressée.

Il y a un an, on me disait “arrivée du printemps… signe de renaissance…”, textuellement. Oui, bien sûr ! Et même  tout le monde le dit, au point que cela paraît une évidence. Et les apparences jouent dans ce sens. En effet, au dernier printemps, je venais d’entrer dans ma grotte, d’entamer (paraît-il) une nouvelle vie. Pour être nouvelle, elle était nouvelle, c’est peu de le dire ! Encore aujourd’hui… mais sa nouveauté a déjà un an, sans compter les mois de gestation (en gros trois mois). Mais il n’y a pas eu de mue, j’ai gardé ma vieille peau. Remarquez, c’est la mienne, je n’ai pas envie de m’en défaire. Bon voilà. Le printemps arrive. La sève, la fameuse sève tapie sous la couette hivernale va jaillir, se répandre, faire fleurir, faire éclater les couleurs, habiller de feuilles les arbres, épanouir les champs et les prés (dans les grandes cités elle doit être un peu comprimée peut-être…), appeler les corps au plaisir des jours (et des nuits…). Et bien tant mieux. Pour moi, il semble qu’elle se détourne dès qu’elle passe devant ma porte. C’est ainsi. Mais ne tenez pas compte de ce que je dis, vivez !

La chanson d’Hugues Aufray me rend nostalgique. Écoutez la bien, j’aurais dû mieux porter attention à ses paroles et en tenir compte. J’aurais l’air moins con aujourd’hui !