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"... je suis avare de cette liberté qui disparaît dès que commence l'excès des biens. Le plus grand des luxes n'a jamais cessé de coïncider pour moi avec un certain dénuement."Albert Camus (Préface de "L'Envers et l'Endroit")
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Il y a environ une heure, je me disais qu'il existe des instants privilégiés. Silence léger du petit matin. Dehors n'est pas encore venu à la fenêtre. Recueillement. Un coq chante au loin...
Puis quelqu'un éternue..., dans la rue une voiture passe en trombe. La vie commence sa nouvelle journée et nous emmène avec elle.
05:55 Publié dans Au fil des jours | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
Et si demain c'était ça le privilège (pour nous petites gens...): le travail ??
CED H
Écrit par : cedh | 31 janvier 2006
Écrit par : Fabrice | 01 février 2006
Cedh, le travail pourrait être un privilège, à condition de le choisir et d'en maîtriser les conditions, les objectifs et l'utilité... a nous de prendre le taureau par les cornes
Écrit par : Rony | 01 février 2006
Écrit par : ANNE | 04 février 2006
il faut cultiver et savourer ces courts moments de plénitude.
Écrit par : Rony | 04 février 2006
Les commentaires sont fermés.