26 avril 2006
Aube
L’aube paraît et vient faire ses promesses. A peine levé, des chants d’oiseaux musiquent dans mes oreilles. Le corps lourd réclame un premier café parfumé, un premier plaisir, un premier soleil. L’instant merveilleux où les bruits mécaniques sont oubliés…. Zut ! la voiture des amoureux, en bas, ventile son moteur avec fracas ! Poésie ratée, enfuie. La journée commence. Il est cinq heures, comme dans la chanson.
07:20 Publié dans Au fil des jours | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Les amoureux se lèvent trop tôt parfois...
Écrit par : Fabrice | 29 avril 2006
Fabrice, je crois qu'ils n'étaient pas encore couchés !
Écrit par : Rony | 05 mai 2006
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