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16 juillet 2006

Repos

Ce matin, départ pour une campagne bien chaude mais arrosée par une rivière tranquille et un canal, plus un bras d'eau pour se rafraîchir.

L'embrasement du monde aux mains de fous devient inquiétant, d'autant que nos toutes petites marionnettes plolitiques et expertes nous offrent un théâtre d'impuissance et d'exhibition plus qu'affligeant. Combien de temps les peuples seront encore méprisés et comptés pour rien ?

Il faut recréer l'espoir et garder la colère. Un peu d'air et de calme peuvent y aider.

Dans une quinzaine, ce monde aura encore fait des siennes... et je serai de retour.