24 septembre 2006
Mots pour mots
L’adulte dit à l’enfant qui pleure un parent disparu :: il vit encore en nous.
L’enfant répond : encore quoi ? Qu’a-t-il vu en nous ?
Tu t’ennuies la nuit tandis que la muse muse la nuit et s’amuse.
Pensée du soir… je l’ai oubliée !
Récréation recrée action Renaissance renaît sens.
Il fuit le temps et demande l’heure fugueur Il vous demande s’il a l’heur de vous plaire plaideur Il vous ment avec bonheur tricheur
Dates diverses dans Carnet de mots
08:50 Publié dans Plaisirs des mots | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : poésie, littérature, écriture, perso
Commentaires
Et je respire soupire en lisant tes mots, ces mots d'hiver ces divers maux.
Aurais-tu quelque vague-à-l'âme aujourd'hui ? Un amalgame de tristes gammes, ou un retour détour dans un passé froissé ?
Excellent exercice que de jouer avec les mots...
Je te fais un gros bisou, et tant pis pour les mauvaises langues...
Écrit par : Fabrice | 24 septembre 2006
Fabrice et Rony qui se font des gros bisous! c'est-y pas beau ça messieurs dames? et qui va dire aprés ça que la ronde fraternelle s'est perdue?
*Rony, quand ne reste que la dérision... y a encore de la douce vie qui va. bonne journée!
Écrit par : kintana | 25 septembre 2006
Et tu t'y connais en mots... pas de vague à l'âme mais parfois un peu d'amertume, bof...
Gros bisous également, l'ami.
Écrit par : Rony à Fabrice | 25 septembre 2006
Eh oui, fraternité d'esprit et de coeur, bien sûr que cela existe. Quand la dérision n'est que dérision pure et non pas déraison, elle est douce et amusante. J'aime ton amour de la douce vie.
Bien à toi.
Écrit par : Rony à kintana | 25 septembre 2006
Quel régal !
Écrit par : Michoko | 28 septembre 2006
C'est gentil Michoko, ce ne sont que quelques petites pensées fugitives.
Écrit par : Rony à Michoko | 30 septembre 2006
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