19 janvier 2007
A quoi bon ?
Ce blog a besoin de repos… Il va rester un temps en sommeil.
Quand un cœur est meurtri au point de ne plus ressentir que du vide cela devient morbide
Il n’a pas le droit de s’exposer !
D’autres souffrances, et je pense à quelques amies et amis y compris virtuels, sont bien plus insupportables et injustes. Insoutenables même.
Le mieux est de les respecter et de se taire… surtout lorsqu’on ne peut plus lutter
J’ose espérer une prochaine lueur d’avenir, mais l’horizon est noir et bas.
A quoi bon tout cela ?
10:49 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : vive la vie, blog, perso, *de tout et de rien*
Commentaires
Ben, dis donc Pépère, t'as le blues ?
Un jour je me suis dit que je ne voulais plus m'attacher à quelqu'un pour ne pas qu'il soit malheureux si j'étais malade ou si je mourrais puis j'ai réalisé que l'on ne peut pas empêcher les gens de vous aimer … mais moi, je n'ai plus envie de souffrir !
Alors la vision "À quoi bon ?" est une vision égoîste ne pensant pas que d'autres puissent avoir eevie de vous lire.
Quand l'horizon est noir et bas, il suffit de se retourner et voir les jours passés ou ceux à venir. Il y a quatre points cardinaux : il y a toujours un coin de ciel bleu quelque part … Une tempête qui balaie les nuages gris … une trouée dans le ciel comme ce 13 janvier :
http://2doc.net/ciel
Ne pas donner de nouvelles, c'est aussi se complaire dans l'inquiétude des autres ! Maintenant vous êtes libre !
L'écriture permet de faire face à ses démons, de mieux les maîtriser.
Écrit par : Sar@h | 19 janvier 2007
Ben, dis donc Pépère, t'as le blues ?
Un jour je me suis dit que je ne voulais plus m'attacher à quelqu'un pour ne pas qu'il soit malheureux si j'étais malade ou si je mourrais puis j'ai réalisé que l'on ne peut pas empêcher les gens de vous aimer … mais moi, je n'ai plus envie de souffrir !
Alors la vision "À quoi bon ?" est une vision égoîste ne pensant pas que d'autres puissent avoir eevie de vous lire.
Quand l'horizon est noir et bas, il suffit de se retourner et voir les jours passés ou ceux à venir. Il y a quatre points cardinaux : il y a toujours un coin de ciel bleu quelque part … Une tempête qui balaie les nuages gris … une trouée dans le ciel comme ce 13 janvier :
http://2doc.net/ciel
Ne pas donner de nouvelles, c'est aussi se complaire dans l'inquiétude des autres ! Maintenant vous êtes libre !
L'écriture permet de faire face à ses démons, de mieux les maîtriser.
Écrit par : Sar@h | 19 janvier 2007
Tes textes sont bien émouvants, chacun peut s'y retrouver un peu ; continue à pionoter sur ton clavier pour toi et tes amis virtuels.
Il est tard, bonsoir Rony
Écrit par : La Fanchon | 19 janvier 2007
NOUS sommes là, Rony, compatissants et attentifs.
Écrit par : koan | 20 janvier 2007
certaine fois on n'a besoin d'un peu de recule, ça ce comprend mais il ne faut pas que ça dur trop lontemps. plus on attend pour ce blouster, plus on s'enfonce et c'est très difficile de s'en sortir ensuite. crois-moi, je suis sur qu'il y a encore de très bon moment à vivre, meme si difficile que ce soit, il faut parfois ce donner des coup pieds au cul.
courage rony bisous
Écrit par : melancoly | 21 janvier 2007
Entièrement d'accord,écrire permet d'exorciser la peine, même si tu es le seul à te relire, libère toi; bon courage
Écrit par : cri-cri | 21 janvier 2007
il ne faut abondonner=)))))
demain est forcément un jour meilleur et nous-autres , amis virtuels avons besoin de ton écriture=))))
même si la vie n'est toujours tendre avec nous, il ne faut pas la^cher prise!!!!! resister , lutter encore et toujours , envers et contre tous
CARPEDIEM!!!!!!!
Écrit par : anne | 22 janvier 2007
Nous ne sommes pas en mesure de pouvoir savoir ce qui se passe, et nous ne chercherons pas à savoir. Nous guetteorns simplement régulièrement le petit bout de ficelle qu'est le blog de l'électron libre, qui continuera, je n'en doute pas, à nous relier à toi et à tes pensées. A bientôt, Rony. En toute liberté, mais avec solidarité.
Écrit par : xavier | 22 janvier 2007
Je suis attristée de vous sentir si découragé mais il faut aussi savoir se laisser aller à la douleur. Nous ne sommes pas des surhommes.
Prenez soin de vous, de votre âme meurtrie.
Soyez un ami pour vous même, un bon coup de talon et vous remonterez à la surface prendre cette goûlée d'air qui nous est si nécessaire.
Écrit par : Michoko | 24 janvier 2007
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