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"... je suis avare de cette liberté qui disparaît dès que commence l'excès des biens. Le plus grand des luxes n'a jamais cessé de coïncider pour moi avec un certain dénuement."Albert Camus (Préface de "L'Envers et l'Endroit")
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Tu as convoité celle que j’aime
Qu’y pourrais-je
Si elle veut de toi
Tu la vois chaque semaine
Je ne la vois plus
Qu’y pourrais-je
Si elle veut de toi
Ici gisent
Dans un même cœur
Un Amour trop grand
Et une belle Amitié
lu dans un cimetière fantôme... d'une région abandonnée et sinistre
10:15 Publié dans Histoires sans histoire | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : vive la vie, *de tout et de rien*, blog, perso
Commentaires
Cette année-là, il nous avait accompagné en sortie scolaire aux Sept-Îles, en descendant du bateau, il m'avait déclaré "Bon Dieu, ça fait une éternité que je n'ai pas passé une bonne journée comme celle-ci." Quand je le croise au printemps, il me demande toujours si j'emmène les drôles aux Sept-Îles.
Donc si l'enseignant(e) de Sarah a besoin de main d'œuvre, plongez pour un bain de jouvence !
Écrit par : Sar@h | 25 février 2007
Écrit par : Claudine | 28 février 2007
l'épitaphe n'est pas de moi ! elle m'a été envoyée par un "lecteur" qui veut rester anonyme mais qui a trouvé que je pouvais l'inclure dans la série les chemins de solitude...
Elle ne reflète pas (je l'espère) ma situation mais la sienne.
C'est également lui qui a écrit le commentaire au bas de l'épitaphe...
à Sar@h : le bain de jouvence je le prends trois fois par semaine avec l'association "Alter Ego" qui prépare activement son spectacle pour le 5 mai et avec mes petits enfants...
à claudine, mes petits enfants sont beaucoup pour moi et je les aime autant que quand tout "allait bien". Ils ne me sont pas une compensation, rassure toi..
Écrit par : rony | 01 mars 2007
Écrit par : Nounou | 01 mars 2007
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