26 mars 2007
Don de moelle osseuse
La famille et les proches du petit V... sont toujours dans l'attente des dignostics des médecins et d'un protocole de soins
Lisez le récit poignant de la cousine de V... en lien dans la liste "leucémie" dans la colonne de gauche de ce blog et ici sous le titre "Le combat du petit bonhomme"...
Les autres liens renvoient au don de moelle osseuse. Si nous ne trouvons pas les mots, et c'est mon cas, au moins faisons le geste, nous n'y pensons pas assez...
Merci à toutes celles et ceux qui envoient leur soutien par mail... ils sont nombreux !
10:25 Publié dans Au fil des jours | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : Vive la vie, Santé, Blog, Perso
Commentaires
je suis tellement touchée par ce cas , que les mots me manquent !
vous avez tout mon soutien ...
Écrit par : debla | 26 mars 2007
Tu vois , ton article me fait réfléchir . Je me demande si malgré ma maladie je pourrais faire un don de moelle osseuse , après tout peut-être ? mes docteurs savent que je suis barge mais ils ne savent pas tout ! je te tiendrai au courant . Promis !
Écrit par : khate | 26 mars 2007
c'est tellement injuste un enfant qui souffre=))
Écrit par : anne | 26 mars 2007
à travers le texte j'ai mal pour ce petit bonhomme.
j'espère de tout coeur qu'ils vont trouver une moêlle. je leur souhaite bon courage et leur envois plein de bisous
Écrit par : melancoly | 26 mars 2007
merci debla, pour toute la famille
je te connais assez pour te dire que ton commentaire m'est précieux.
Écrit par : rony à debla | 27 mars 2007
merci khate, je te reconnais là, tu sais ce qu'est la souffrance du corps et tu connais ses répercussions sur le moral et l'existence. Que te dire, sinon admiration et amitié ?
Écrit par : rony à khate | 27 mars 2007
Je pense comme toi, anne, personne ne peut le supporter...
Amicalement
Écrit par : rony à anne | 27 mars 2007
merci melancoly, comme à chaque fois, la douceur de ton commentaire fait du bien...
pensée amicale et courage à toi aussi
Écrit par : rony à melancoly | 27 mars 2007
Bonjour Rony,
Un de mes collègues a perdu sa petite fille de 4 ans de cette maladie.
C'était il y a près de 3 ans.
Déjà sensibilisée aux difficultés des malades, ce drame vécu par une personne que j'estime m'a définitivement réveillée. Depuis, je donne régulièrement mes plaquettes. Qu'est ce que ça nous coûte franchement, quand je fais le compte du nombre d'heures que je gaspille à faire des trucs inutiles ?
Chacun de nous devrait donner son sang.
Écrit par : Fiso | 27 mars 2007
Je m'interroge … je n'ai pas souvenir, étant petite, d'avoir connu parmi les élèves de l'école, d'enfants souffrant de cancer. Le seul enfant gravement malade dont je me souviens avait dû rester allongé plusieurs mois et était soigné à Berck. C'était le fils de Nono … mais après plusieurs interventions, il était redevenu "comme nous".
Quelle dérive de notre société peut bien entraîner ce phénomène ?
Écrit par : Sar@h | 27 mars 2007
Bonjour Fiso
Vous avez tout à fait raison, mais, souvent, "on" n'y pense pas assez, tant que l'on n'est pas touché directement... C'est la marque de cette foutue société que nous avons hélas participé à créer ! ! Il est toujours temps de se reprendre, la preuve, vous, et les donneurs "conscients".
En passant, je doute que vous fassiez autant de choses inutiles que vous le dites ...
Écrit par : rony à Fiso | 31 mars 2007
Je me pose la même question que vous Sar@h, et d'autres comme nous, d'après certains mail que j'ai reçus, je pense en effet que notre société a sans doute créé des conditions, des incidences favorables à ces maladies... mais où chercher les responsabilités ?Cela aiderait peut-être à découvrir les traitements appropriés... Nous sommes tellement démunis, à notre niveau, devant cette "saleté" !
Écrit par : rony à Sar@h | 31 mars 2007
Rony,
Pourquoi ce vouvoiement soudain ?
Tu ne m'as pas reconnue ? ;)
Tu ne peux pas savoir le bien que ça me fait de te retrouver sur cet espace. Je ressens moi aussi cette solitude dont tu parles et le sentiment de n'avoir rien construit et de n'avoir rien à laisser.
J'aimerais tellement pouvoir me laisser aller un peu, retrouver cette insouciance que je n'ai que trop peu goutée, cette impression d'invincibilité, ce coeur gonflé d'espoir qui m'a fait mettre un genou à terre pour ne plus me relever.
Un jour viendra mais c'est long le chemin vers soi-même !
Pourrais-je un jour me pardonner mes erreurs ?
Désolée Rony, juste un moment de grande tristesse qui me submerge. C'est de ta faute, aussi, tu décris tellement intensément ces moments ou même sourire est douloureux, ou on a plus la force de faire semblant.
Sache que tu n'es pas seul.
Écrit par : Fiso | 31 mars 2007
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