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29 janvier 2008

Les élucubrations de l'électron libre(5)

 Vous avez dit Mai 1968 ? J’ai bien entendu. Si, si vous l’avez dit… Où étiez-vous à ce moment là, dites moi, si vous étiez nés s’entend, bien sûr. Je suis très intéressé par les réflexions des uns et des autres à ce sujet. Pas vous ? Le petit homme veut en finir avec Mai 68, je crois. Mais pourquoi donc ? Pour marquer un anniversaire, cette année, par exemple. “C’est moi qui aie éradiqué l’esprit soixante huitard !” Vous savez, la pub : “ C’est moa qui l’l’lai fait !”. Pauvre petit homme, l’esprit soixante huitard, sait-il seulement ce que c’est ? Y en a-t-il un d'esprit, d’ailleurs, n’y en a-t-il pas plusieurs ? Un exercice de mémoire pour les uns, une leçon pour les autres : 68 n’était pas une révolution, mais un mouvement (multiple qui plus est) ; 68 n’était pas typiquement français, mais, pour ne pas dire mondial, disons occidental. Bon, je sais, il y a des “nouveaux philosophes” qui se sont fourvoyés depuis, et des politiques politiciens aussi (savez-vous que certains d'entre eux ont fait partie de l'irascible, coléreuse, dangereuse et violente secte "Occident vaincra ?”)... Le monde qu’on nous fabriquait à l’époque – et qu’hélas on continue à nous fabriquer en accentuant  les conséquences dramatiques – ce monde était en crise. En mauvais historien qu’il est, le petit homme accentue le malaise. Et ce faisant, il croit jeter un pavé dans la mare, le pôvre. Et autour de lui s’agglutinent les courtisans de toujours, n’est-ce pas Monsieur Attali ? Il est fou celui-là ! Mais non, mais non, pas dans sa tête. Il pense, donc il suit ! L’homme des palais mirifiques et luxueux, savez ? 1993, la Berd et le marbre de Carrare, renseignez vous si vous êtes trentenaires ! Ultra libéral qu’il est le conseiller d’un Président « socialiste », si, si. Va faire du bien aux pauvres gens, sans aucun doute, avec ses lamentables mesures pour je ne sais quelle relance ! Et puis il y a l’autre amuseur, là, DSK, DSK ex candidat à la candidature, patron d’un organisme qui se fout comme d’une guigne de la pauvreté des vrais pauvres gens, jai nommé le FMI. Il y en a des vrais, des pauvres, si, si, mesdames-messieurs les trentenaires téléphages ! Méfiez vous des “vérités” télévisuelles, des enseignements formatés, etc… ne soyez donc pas moutons ! Mais cela vaut aussi pour d’autres que les trentenaires, bien sûr ! Je m’écarte du sujet… je ne vais pas faire le tour des grosses têtes pleines d’elles-mêmes qui s’agitent dans et autour du bocal présidentiel, ni tomber dans le « sensationnalisme » popol ! Ça ne vaut pas un pet de cheval. Mais à part ça, Madame la Marquise ? Tout va très bien, tout va très bien ! Est-ce que par hasard la France ne s’ennuierait pas ? Oups…

 

Allez, on va causer Mai 68.  Pour comprendre. Et aussi pour apprendre à ces nigauds qui croient que ce sont eux qui en naissant ont créé le monde ! Arrff !

 

PS : souvenez-vous, je suis las de me répéter, dans un sondage, il faut prendre les pourcentages pour ce qu’ils sont, c'est-à-dire : X% des sondés et non pas X% des Français, est pas pareil disait le SDF du coin de la rue qui tourne.

 

Commentaires

Que ça fait du bien ! Ils arrivent à me faire avoir honte de mes souvenirs et mes actions Soixante-Huit - J'ai toujours la même répulsion pour les capitaleux... et pour ceux qui ce sont vendus. Bien sur que le Petit veut censurer nos idées, nos pensées, elles sentent encore trop bon le printemps, il ira jusqu'à censurer nos corps sous un grand drap de totalitarisme - j'espère que ce drap noir, il me rappellera nos drapeaux. Le Petit est dangereux, extrêmement dangereux parce qu'il est avide, mégalomane, plein de simili-brillance, un coeur mort pour l'Arrivisme. Il n'a pas encore fait créer d'hymne à sa Personne, cela viendra - ô jeunes comme je vous plains, la machine est en marche...

Écrit par : frederique | 29 janvier 2008

Où étiez-vous ?
Jambe cassée, plâtrée pendant 3 mois, on m'a scolarisée dans l'école des garçons, celle de la "racaille". A la récréation je jouais à la guerre transformant mes béquilles en mitraillettes ! Je ne peux voir une canne anglaise sans le faire !
Point de kinésithérapeute, pour toute rééducation : la piscine … Ainsi naquit la demoiselle de nage, j'avais onze ans.
Quand on me demandait comment je m'étais cassée la jambe, je répondais que j'avais reçu un pavé. Aujourd'hui, j'avoue : je me suis tordue le pied en patin à roulettes.

Écrit par : Sar@h | 29 janvier 2008

Un seul mot ! BRAVO ! à 100 % d'accord avec toi sur toute la ligne ! sur toutes les lignes même ! tu as un talent d'auteur que je t'envieeeeeeeeeeee en plussss !

Écrit par : Huguette | 29 janvier 2008

Que ton coup de gueule fait du bien Rony !
Moi j'habitais Metz, j'avais 10 ans et ne risquais pas de chanter "gare ta gueule à la récré" toute douce et gentille que j'étais :-)
Je garde le souvenir d'une période tourmentée qui inquiétait ma mère car mon père risquait d'être réquisitionné "en renfort" pour casser de l'étudiant... Dieu merci, cela n'est pas arrivé !
Quant au petit homme comme tu dis gentiment, tu sais ce que j'en pense (sur mon blog)...

Écrit par : Cigale | 29 janvier 2008

Mai 68 ? J'étais une jeune maman de trois petites filles : occupée entre biberons, câlins, conduites à l'école (à pied), leur père devait prendre un camion militaire sur la place du Château de Versailles pour se rendre au travail. Mon regret ? Avoir des fourmis dans les jambes, j'aurais tellement aimé être avec ceux de mon âge pour crier qu'il fallait changer une société qui se regardait le nombril.

Écrit par : La Fanchon | 29 janvier 2008

Je ne susi pas au courant des paroles du petit homme a propos de mai 68 dont il met fin, alors je l'appprend ici. Mais pour qui il se prend ce ptit morveux!!!!????
Du ahut de mes 27 ans, je n'ai bien sur pas connu cette période, mais depuis mon adolescence, j'ai toujours été en admiration pour elle. j'aurais tant aimé etre là. Jme suis toujours dis que jm'étais trompé d'époque. Avant, la jeunesse, valait le coup dêtre vécue, il y avait pus de liberté. Alors qu'aujourd'hui.....Maintenant, meme manger gras et sucré nous devient "interdit" te je ne parle pas du reste....
J'envie ce temps où etre jeune était synonime de liberté, de rebélion......
Bravo pour ton coup de geule Rony.

Écrit par : La Noiraude du Jura | 29 janvier 2008

Petit homme veut devenir grand homme par tous les moyens, mais il ne sait pas encore qu'il a fini de grandir depuis longtemps déjà...il ne sera même pas moyen. Bon, pour le moment il compense avec les GROSSES conneries.
Si la connerie grandit avec celui qui la porte, il vaut mieux qu'il reste toujours petit...
Mai 68? Voyons voir...mai 68...mai 68...C'est quoi ça déjà? On a le droit d'en parler? Ce n'est pas l'année qui a été effacée de l'histoire de l'humanité par un gnome?
Et tu sais le plus marrant dans tout ça? Ben quand tu entends les gens, ils sont tous unanimes, tous contre le petit bonhomme...tout le monde!!! Personne n'a voté pour lui, personne! Bizarre qu'il soit sur le trone, non?

Écrit par : José | 29 janvier 2008

Un vrai coup de gueule!!!
Ca fait du bien!!!
Tu sais Rony, tous les trentenaires ne sont pas "contre" Mai 68. D'ailleurs être contre ça ne veut pas dire grand chose.
En tant que trentenaire, moi, je me pose simplement des questions sur Mai 68.
Je crois que dans ton analyse tu dis à demi-mots que rien n'a changé dans le monde.
Est ce pire aujourd'hui? Mieux?
Je n'en sais rien...
Ce que je crois dans le fond, c'est que les hommes n'évoluent pas, car à chaque génération sa peine...
Et on recommence...et on recommence...et on n'avance pas!
L' idée grandiose qu'est celle de l'humanité n'est malheureusement...qu'une idée...
Ëtre optimiste? Je ne sais pas...Ca me semble plutôt difficile...

Heureusement, j'ai pu lire ton avis sur cette question ce soir. Et ça m'a fait du bien.

(J'aimerai beaucoup aussi, si tu en as l'envie, que tu nous en dises plus sur cette fameuse année. Ce serait très intéressant un témoignage comme le tien. Ca changerait des analyses pompeuses qu'on trouve dans "toutes les bonnes librairies".

Je reste sur ma première idée: Rony est un type particulièrement intéressant et sympathique."

(J'ai le droit de dire ça, sans donner l'impression que je me pose en trentenaire fougueux dans ses idées qui jugent? Peu importe. Je suis sincère.)

Écrit par : Cribas | 29 janvier 2008

"Elucubrations..." est presque un mauvais titre...
Tu es trop modeste.

Écrit par : Cribas | 29 janvier 2008

Bravo Rony !
Voilà la note qu'on attendait.
Et surtout ne pas laisser dire que ce monde a été fabriqué par les soixantehuitards.
J'ai toute une polémique avec mon fils à ce sujet, il prétend que nous avons été une génération d'égoistes...
ça fait plaisir de lire un trentenaire qui raisonne autrement.
C'est parce que les idées de 68 n'ont pas été reprises que ça va mal.

Écrit par : Rosa | 29 janvier 2008

Tu sais Rosa (vous savez) j'ai souvent insulté (ou plutôt cherché à provoquer c'est le terme exact.) les soixante huitard...Je ne sais plus trop pourquoi...Aujourd'hui je trouve que finalement c'était pas mal une génération avec des idéaux.
Pourquoi les soixante huitards ont été mes coupables?(D'abord il faut dire qu'ils étaient plus nombreux que ça. S'ils n'avaient été que soixante ça ne se serait pas su...)
Parce que je cherchais un coupable?
Oui c'est ça, je suis un être humain, j'ai donc cherché un coupable à mon mal être...
Maintenant que je sais que je vais mal grâce à moi, ben ça va un peu mieux à cause des autres...
CQFD

(Merci de ne conserver que ce commentaire corrigé Rony)

Écrit par : Cribas | 30 janvier 2008

Quand je faisais du stop, à la fin des années 70 et au début des années 80, séchant de longues heures sur le bord de la route, je me demandais où il était passé, l'esprit de ces soixante-huitards qui ne prenaient plus le temps de s'arrêter. Maintenant, il y en a même qui penchent pour le despote en place... 40 ans ont passé, mais bon, il ne faut jamais oublier qu'il y en a presque la moitié qui sont toujours du bon bord!

Écrit par : sdf de luxe | 30 janvier 2008

Bonjour Rony

je voulais dire quelques mots sur 68

mais j'ai retrouvé ce texte


Pour parvenir à garder un autre individu en sa puissance, on peut avoir recours à différents procédés.

On peut l'avoir immobilisé par des liens, on peut lui avoir enlevé ses armes et toutes possibilités de se défendre ou de 'enfuir.
On peut aussi lui avoir inspiré une crainte extrême ou se l'être attaché par des bienfaits, au point qu'il préfère exécuter les consignes de son maître que les siennes propres, et vivre au gré de son maître qu'au sien propre.

Lorsqu'on impose sa puissance de la première ou de la seconde manière, on domine le corps seulement et non l'esprit de l'individu soumis. Mais si l'on pratique la troisième ou la quatrième manière, on tient sous sa dépendance l'esprit aussi bien que le corps de celui-ci. Du moins aussi longtemps que dure en lui le sentiment de crainte ou d'espoir. Aussitôt que cet individu cesse de les éprouver, il redevient indépendant. Même la capacité intérieure de juger peut tomber sous la dépendance d'un autre, dans la mesure où un esprit peut être dupé par un autre.

Il s'ensuit qu'un esprit ne jouit d'une pleine indépendance, que s'il est capable de raisonnement correct.
On ira plus loin. Comme la puissance humaine doit être appréciée d'après la force non tant du corps que de l'esprit, les hommes les plus indépendants sont ceux chez qui la raison s'affirme davantage et qui se laissent davantage guider par la raison.

En d'autres termes, je déclare l'homme d'autant plus en possession d'une pleine liberté, qu'il se laisse guider par la raison.

Spinoza

68 ce sera pour plu tard

Écrit par : noelle | 30 janvier 2008

Cribas, je rapporterai tes propos à mes fils...
Ceci dit, je n'ai pas été très objective : mes fils ajoutent "votre faute est de ne pas être allés jusqu'au bout."
C'est vrai, mais ce n'est pas notre faute.
Grenelle était LÉGITIME MAIS Grenelle a fait dériver l'idéal de 68 et l'a transformé.

Écrit par : Rosa | 30 janvier 2008

Rony, d'après ta photo tu es un mélange d'Hugues Auffray et de Jean Ferrat : tu grattes aussi la guitare ?

Écrit par : Rosa | 30 janvier 2008

Oups , je n'étais qu'une petite fille de 9 ans en 1968, et pourtant j'étais fasciné par ce qui se passait dans ce monde.Mon frère avait 10 ans de plus et toute l'énergie et l'espoir de faire changer les choses.
A travers lui, j'ai vécu ce moment la très intensement .
Alors , tu vois ton coup de gueule m'a fait un bien extraordinaire , il m'a fait presque revivre.
Oui oui oui je suis d'accord avec toi, à 100% .
Enfin un souffle d'air pur sur notre monde alors merci .Et surtout ne t'inquiètes pas ils peuvent essayer mais ils n'arriveront pas à nous enlever notre pensée.
Encore merci à toi
joce

Écrit par : rondel | 30 janvier 2008

J'ai peu de souvenirs de Mai 68 car je n'avais que 4 ans...Mon père était ouvrier aux usines Chausson de Boulogne Billancourt qui faisaient grève. On n'avait plus rien à manger alors on allait prendre notre repas à l'usine (il devait y avoir un fonds de solidarité sans doute). Il faisait beau alors il y avait de grandes tables dans la cour de l'usine comme pour un banquet et on mangeait de la soupe dans des gamelles en métal. J'en garde un souvenir festif car j'étais fière d'aller dans l'usine de mon papa. ;-))

Écrit par : enriqueta | 30 janvier 2008

Quel joli souvenir Enriqueta!

oui en 68, beaucoup d'usines occupées ,des facs, des banques .... et la fête était vraiment dans la rue, le pays etait en crise mais le bonheur etait là( beaucoup de tabassage aussi)
que reste t-il de ce vent de liberté! aujourd'hui des interdictions, des interventions de l'état jusque dans les comportements privés et plus grave ,une démolition de nos acquis sociaux

Écrit par : noelle | 30 janvier 2008

Bon contente de lire le message de Rosa. Mon fils (33ans)m'a dit aussi, il y a quelque temps que tout ce qui arrivait maintenant c'était à cause de Mai 68. Je ne me sens pas très concernée lui ai je dit ,puisque à l'époque j'allais sur mes 19 ans et je ne comprenais pas trop la situation, du moins je m'en désintéressais plus intéressée par mon amoureux. Et puis la politique à cet âge là ! Mais j'ai fait grève pour être solidaire de mes collègues dans la petite ville de province où j'habitais alors. Je travaillais à l'époque en usine où j'emballais le pain grillé, je n'ai pas eu trop le choix, c'est mon père qui m'a fait quitter l'école, pas convaincu de mes résultats scolaires. A l'usine on apprend à travailler sans ronchonner, on a pas le choix. Dieu merci, je n'y suis restée que 4 ans et ai taté d'autres métiers après.
Rony tu as bien fait de faire un com sur mai 68. Il me semble que les gens étaient moins égoîstes, plus téméraires, mais cela s'explique. On perdait un emploi on n'en retrouvais un rapidement. Et puis les syndicats étaient plus crédibles aussi, pas à la solde des patrons comme maintenant. Personne n'arrive à contrer le petit homme dans ses dérives. Franchement je souhaite à nouveau un mai 68. car en 2008 j'ai le sentiment que nous allons un peu plus rétrograder. Que deviennent nos acquis ?.................................

Écrit par : Mère mi | 30 janvier 2008

Mère ml, moi aussi j'étais intéressée par mon amoureux...que j'ai connu en mai 68 et qui l'est toujours !
En fait, en 68 j'ai essayé de comprendre et pour tout te dire je suis devenue 68 huitarde après...
Voilà pourquoi j'ai besoin de défendre cet héritage.
Tu as raison, il ne faut surtout pas poser de jugement sur les jeunes actuels : NOUS POUVIONS NOUS OFFRIR CE LUXE de penser aux autres, de vouloir changer le monde...
Un autre 68 : peut-être un jour mais pas dans l'immédiat.

Écrit par : Rosa | 31 janvier 2008

Même chose soixante huitarde après, avec souvent la révolution dans ma tête quoique je me suis bien assagie, je tourne un peu plus ma langue dans ma bouche avant de parler enfin souvent. Un prof m'avait dit que "plus tard vous serez râleuse professionnelle" c'est tout dire.
Pour l'amoureux pas pareil. Mais bon c'est pas mal non plus, mon amoureux de maintenant, je l'ai quand même depuis 1971. Bonne soirée Rosa. Je n'ai pas de blog mais je vais aller faire un tour sur le tien. Sur un des liens que je suis allée visiter, je suis tombée sur un poème d'Emile Verharen : le moulin. Impossible de retrouver. Si quelqu'un peut m'aider, "A vot bon coeur msieurs dames.

Écrit par : Mère mi | 31 janvier 2008

Mai 68 ,17 ans et j'ai fait ma première expèrience de la grève et des manifs.J'ai occupé avec les autres employées l'usine où je travaillais. Ce serait à refaire je recommencerais. Merci Rony pour ta note, 68 n'a peut-être pas tout réglé, mais m'a appris ce que le mot solidarité veut dire, car de la solidarité il en a fallu pour tenir le coup!!!!Ce mot n'existe plus dans le vocabulaire français, et c'est bien triste de ne vivre que pour le chacun pour soi.

Écrit par : laurence | 05 février 2008

Mère Mi : il s'agit de mon blog, où tu as vu le poème d'Emile Verharen : le moulin. Tu peux cliquer sur mon nom pour y arriver.

Rony : j'avais 15 ans et demi en mai 1968 : je dois dire que les grèves dans mon lycée m'ont marquée, puis ce qui se passait à PARIS surtout. Tout ce que l'on voyait à la télévision, ce qu'on entendait à la radio, les tubes du moment, le grand mouvement de solidarité ... le départ du Président de la République. Je pense que ce moment peut revenir si cela continue dans le sens où c'est parti....
Bonne semaine, très bien ta note !!!

Écrit par : elisabeth | 17 février 2008

Lu dans Marianne...
56% des Français craignent la Maladie d'Alzheimer
C'est mal barré parce que 50% ne se souviennent déjà plus d'avoir voté pour Sarko il y a un an

LO

Écrit par : Laurence | 05 mai 2008

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