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16 avril 2008

Politiciens serviles... et nous ?

Il va falloir tout de même faire les comptes de tout ce « qu’on » enlève aux petites gens, dans notre pays. Ce n’est pas qu’un peu ! C’est très grave, très très grave. Mais il va falloir aussi que nous nous regardions en face pour nous demander : pourquoi ce silence ? Sapristi ! On dépouille de tout les populations les plus en difficulté. Sous le prétexte de faire des économies, « on » met en place les recettes venues d’un lointain pays qui se prend pour le gouverneur et le gendarme du monde.  Recettes dont on constate jour après jour et depuis bien des lustres qu’elles n’ont bon goût que pour quelques uns et un fort goût amer (au minimum) pour tous les autres. Nous devons ces beaux livres de recettes aux cuisiniers  Milton Friedman et Friedrich Hayek, fameux « révolutionnaires » néolibéraux et leurs desperados… Qui se souvient que le premier pays où Friedman appliqua tranquillement ses « méthodes » fut le Chili d’un certain Augusto Pinochet… ? Troublant non ? Alors quoi ? Nos pays basculent à leur tour, déjà que ce n’était pas brillant… la Grande Bretagne, de madame Machin la guerrière, bientôt imitée par le premier de la classe dite travailliste Tony Blair, notre France aux mains de qui l’on sait et qui pousse dare-dare à se satelliser dans tous les domaines autour du pays gendarme, l’Italie qui vient d’offrir une couronne de fleurs à un Cavaliere allié à un parti peu recommandable. Alors, quand on nous raconte que c’est la faute au prix du pétrole, au prix des matières premières, au prix des aliments de base, aux chômeurs, aux malades (ben oui ! franchise et réorganisation de la carte sanitaire), aux sans-papier (qu’on emploie pourtant à bon compte !), on se fout de notre gueule ! Et on ne dit rien ! Il y aurait trop de profs, il y aurait des classes à fermer, il faudrait privatiser l’université, la culture, la petite association, peut-être bientôt le bénitier du curé pourquoi pas, la sécu, et demander aux retraités de se reposer plus entre quatre murs pour toucher moins et… et … y en a marre ! ! Mais on ne dit rien…